Amy-Léa
Petiquay
Amy-Léa accompagne son père à la chasse aussi souvent que possible.
Amy-Léa Petiquay
Amy-Léa Petiquay vit à Mashteuiatsh. Dans sa famille, tout tourne autour du hockey : ses deux grands frères sont aussi des joueurs de hockey et son père, un entraineur de gardiens de but. Amy-Léa veut se surpasser dans tout ce qu’elle entreprend. Bourrée de talent, elle rêve de jouer un jour pour l’équipe canadienne féminine de hockey et de représenter le Canada aux Jeux olympiques.
Le regalia est un vêtement porté par les danseurs de Pow-wow. Amy-Léa présente le sien, fabriqué par sa grand-mère.
« Ce qui fait la différence, c’est l’encadrement du jeune » - Gaston Girard, entraineur de Amy-Léa
Le hockey a un impact positif et contribue à la lutte contre le racisme et les préjugés
« Le hockey, ça a eu un gros impact positif sur ma vie » - Maxime Petiquay, père d’Amy-Léa
Soutenir son enfant, c’est aussi aspirer au meilleur pour lui. Véronique Duchesne, la mère d’Amy-Léa, en offre un bon exemple.
Les défis liés à la pratique d’un sport comme le hockey sont parfois plus importants pour les familles autochtones.
Mashteuiatsh
Mashteuiatsh, qu’on connaît également sous le nom de « Pointe-Bleue », est une des neuf communautés innues du Québec. Elle est située aux abords du Lac-Saint-Jean, voisine de la municipalité de Roberval et compte plus de 2000 habitants. Sa proximité avec les villes avoisinantes en fait une communauté plus dynamique sur le plan économique que les communautés isolées comme Wemotaci. Pour les jeunes joueurs de hockey, c’est également plus facile d’avoir accès aux organisations de hockey élite.
